Le second semestre de 1888 voit une grand peur s’abattre sur Londres. Un assassin, que la postérité connaîtra sous le nom de Jack L’Éventreur rôde dans les rues sombres et mal-famées de l’East End.
Le retentissement de ces meurtres sur la société anglaise est considérable d’autant qu’ils reflètent l’état d’une ville duale où les écarts sociaux, économiques, culturels sont immenses. Avant même les agissements de Jack L’Éventreur, l’écrivain Robert-Louis Stevenson, dans son oeuvre iconique de 1887 « Dr Jekyll et Mr Hyde », avait montré les côtes les plus sombres de l’âme humaine. Dans les années suivantes des œuvres aussi universellement connues que le cycle de Sherlock Holmes d’Arthur Conan Doyle, « Le portrait de Dorian Gray » d’Oscar Wilde ou le « Dracula » de Bram Stoker allaient donner de nouvelles résonances aux meurtres de Whitechapel.
C’est à commenter ces textes iconiques à la lumière des crimes de Jack que s’est attaché le conférencier.